Soutiende la gauche aux migrants. Du cĂŽtĂ© de La France insoumise, la nouvelle de lâarrivĂ©e de ces migrants avait tout pour plaire Ă Enora
PubliĂ© le 07 mars 2019 Ă 17h33 Le sort dâenviron 250 migrants, installĂ©s depuis quatre mois Ă Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations, est menacĂ© par une demande dâexpulsion. La justice rendra deux dĂ©cisions successives les 14 et 28 mars. Il y a toujours des enfants, des femmes et Ă©videmment beaucoup dâhommes dans ce gymnase les mettre Ă la rue de façon sĂšche serait une vraie catastrophe humanitaire », a dĂ©clarĂ© François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge dâune audience qui se tenait jeudi matin au tribunal de grande instance de assignations en rĂ©fĂ©rĂ© dâexpulsionFin octobre, une soixantaine de demandeurs dâasile avaient Ă©tĂ© dĂ©logĂ©s dâun square de Nantes, et avaient trouvĂ© refuge dans le gymnase dâun lycĂ©e catholique inoccupĂ©, propriĂ©tĂ© du diocĂšse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. Les effectifs avaient gonflĂ© et quelques familles Ă©taient Ă©galement logĂ©es dans une maison, portant Ă environ 250 le nombre de migrants pris en charge par les a fait suite Ă deux assignations en rĂ©fĂ©rĂ© dâexpulsion, dĂ©posĂ©es par le diocĂšse et le promoteur immobilier propriĂ©taire de la bĂątisse. On demande que la ville de Nantes rĂ©quisitionne des bĂątiments vides pour mettre les personnes Ă lâabri » indĂ©pendamment de leur situation administrative, a dĂ©clarĂ© Christophe Jouin, prĂ©sident de Lâautre cantine », collectif Ă©galement engagĂ© dans ce dossier, qui dĂ©nonce le ping-pong entre les institutions ».Les bĂ©nĂ©voles craignent que les dĂ©cisions de la justice, qui seront rendues le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase, conduisent Ă des expulsions sans dĂ©lai, fragilisant la prise en charge de ces personnes et leurs chances de relogement.
Dispositifdâexposition mobile pour le collectif de soutien aux migrants 44. NANTES, FRANCE. Catadrone, avec Leopold Banchini. Exposition dâun bar Ă anguilles dans la vitrine 21 du Recyclart. BRUXELLES, BELGIQUE. Carte de Voeux, Expression des voeux de lâENSA Nantes Ă tous ses partenaires pour lâannĂ©e 2018. NANTES, FRANCE . SuperBankal, avec Collectif Vous. Mobilier
Humanitaire - Caritative La solidaritĂ© est un devoir ! Le Collectif HaĂŻtien de Soutien aux est une association composĂ©e de juristes, d' de sociologues, d' et autres... qui mettent tout en Ćuvre afin que moins de soient meurent de faim, de froid, de maladie, et de souffrance psychologique. Nos actions-Distribution de repas, de kit alimentaire, de vĂȘtements chauds, de couvertures, de titre de transport, organisation de repas solidaires âŠ-Cours de français-SĂ©ance dâinformations dĂ©marches administratives, se faire soigner, oĂč prendre une douche, etc.-Accompagnement juridique et mise en relation avec dâautres institutions ressources
ColombesRespire est un collectif citoyen indĂ©pendant. âColombes Ă vĂ©loâ et âLe Colombes que jâaimeâ ont lancĂ© la dĂ©marche en mars 2019 avec lâobjectif que le collectif prenne son envol en toute libertĂ©. Ce collectif sâadresse aux citoyens, aux Ă©coles, aux associations, aux conseils de quartiers, aux Ă©lus, aux partis politiques et aux entreprises de notre ville.
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Soutienaux migrants : premier parrainage pour le collectif Samedi 23 juin, Claudia, jeune migrante venue d'Angola, est devenue la filleule rĂ©publicaine du dĂ©putĂ© Ăric Bothorel et
Cet article date de plus de quatre ans. Plusieurs centaines de migrants Ă©taient installĂ©s depuis plus d'un mois dans le square Daviais, dans le centre-ville de Nantes Loire-Atlantique. Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 23/07/2018 1201 Mis Ă jour le 23/07/2018 1209 Temps de lecture 2 min. AprĂšs plus d'un mois sur place, ils ont finalement Ă©tĂ© expulsĂ©s des lieux. Les forces de l'ordre Ă©vacuaient un campement de plusieurs centaines de migrants Ă Nantes Loire-Atlantique, lundi 23 juillet dans la matinĂ©e, selon une journaliste de l'AFP prĂ©sent sur place. Un important dispositif policier a Ă©tĂ© mis en place vers 8h15, tout autour du square Daviais, dans le centre-ville de Nantes. L'opĂ©ration a dĂ©butĂ© dans le calme vers 8h30. Jusqu'Ă 400 personnes Ă©taient recensĂ©es dans ce campement la semaine derniĂšre. "L'objectif de cette expulsion est de mettre fin Ă une situation prĂ©sentant des risques Ă©levĂ©s pour la santĂ© et la salubritĂ© publiques", a dĂ©fendu dans un communiquĂ© la prĂ©fecture de Loire-Atlantique. Celle-ci avait demandĂ© en urgence l'Ă©vacuation de ce campement. Des bulletins en français, anglais et arabe ont Ă©tĂ© distribuĂ©s aux personnes du campement, les invitant Ă se rendre dans un guichet unique d'accueil temporaire, pour y faire examiner leur situation par les services de l'Ătat. La plupart de ces migrants â parmi lesquels des mineurs et femmes isolĂ©es â sont originaires du Soudan et d'ErythrĂ©e. Les occupants du square ont ramassĂ© leurs affaires et dĂ©pliĂ© leurs tentes dans le calme, puis se sont dirigĂ©s sans prĂ©cipitation vers la salle de la ville oĂč est installĂ© ce guichet d'accueil temporaire. La mairie de Nantes avait refusĂ© il y a une semaine de demander l'Ă©vacuation du campement. Elle estimait que l'accueil des migrants devait ĂȘtre "digne et organisĂ©", et avait annoncĂ© qu'elle se mobilisait "aux cĂŽtĂ©s de celles et ceux qui cherchent des solutions". Le tribunal administratif de la ville, saisi par la prĂ©fecture de Loire-Atlantique, a finalement ordonnĂ© mercredi l'Ă©vacuation "sans dĂ©lai" de ce campement. "Les conditions de santĂ© et de salubritĂ© publique restent particuliĂšrement dĂ©gradĂ©es sur le site", a estimĂ© le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s de la juridiction administrative. Il s'est inquiĂ©tĂ© du "petit espace" oĂč les personnes migrantes "n'ont accĂšs, en pleine chaleur, qu'Ă un seul point d'eau et un seul sanitaire". "On les invite Ă aller dans un lieu mais il n'y aura pas de place pour tout le monde", a dĂ©plorĂ© sur place une membre d'un collectif de soutien aux migrants. La prĂ©fecture a en effet promis la mise Ă l'abri des "personnes les plus vulnĂ©rables" et des demandeurs d'asile "dans la limite des places disponibles". Elle a annoncĂ© avoir mobilisĂ© des places d'hĂ©bergement "sur l'ensemble du territoire national", le dispositif d'accueil "Ă©tant actuellement saturĂ© en rĂ©gion Pays de la Loire". Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Migrants
Sanstente et sans matelas, il était hors de question qu'ils dorment une nuit dehors", a expliqué à l'AFP François Prochasson, membre d'un collectif de soutien aux migrants.
Ils ont fui la torture au Soudan, la dictature en ErythrĂ©e ou la guerre civile en Libye. Ils ont parcouru des milliers de kilomĂštres pour arriver en France, souvent au pĂ©ril de leur vie. Paris, fin du calvaire ? Pas tout Ă fait. BrinquebalĂ©s entre squats de fortune et logements fournis par la mairie, les migrants se retrouvent au centre d'une autre bataille. Celle qui sĂ©vit entre associations, collectifs de soutien et pouvoir publics, opposĂ©s, parfois violemment, sur les stratĂ©gies Ă adopter. Au centre de cette lutte trĂšs politique un tout nouvel acteur, La Chapelle en lutte», collectif de soutien nĂ© de l'Ă©vacuation du camp du mĂ©tro La Chapelle dĂ©but hĂ©tĂ©roclite mĂȘlant riverains et militants d'extrĂȘme gauche, le groupe multiplie les occupations, tout en dĂ©nonçant la mauvaise gestion des exilĂ©s par les associations et les pouvoirs publics. Sa derniĂšre prise de guerre, dont il a fait son camp de base un lycĂ©e dĂ©saffectĂ© du XIXe arrondissement, oĂč sont aujourd'hui hĂ©bergĂ©s prĂšs de 200 migrants. L'objectif crĂ©er une seule et unique maison des rĂ©fugiĂ©s» dans Paris, autogĂ©rĂ©e par les intĂ©ressĂ©s et porteuse d'une seule voix» pour faire avancer leurs revendications».Rue Jean-QuarrĂ©, dans l'ancien lycĂ©e hĂŽtelier Ă l'abandon depuis quatre ans, aucun chef, aucun reprĂ©sentant officiel. La vie, nĂ©anmoins, commence Ă s'organiser. Cours de français, théùtre, permanences juridiques les initiatives se multiplient en direction des migrants. Un rĂšglement intĂ©rieur et une charte Ă destination des mĂ©dias sont Ă©galement en cours de rĂ©daction. Les membres refusent cependant de se constituer en association, comme le rĂ©clame la mairie. Gabriel, jeune youtubeur militant, casquette vissĂ©e sur la tĂȘte, passe d'interviews en match de basket avec des Soudanais. Se constituer en asso ? Pourquoi ? Pour gĂ©rer la misĂšre, devenir salariĂ© et finir par traiter les gens comme des numĂ©ros ?» DerriĂšre ce refus, une volontĂ© aussi d'emmerder le gouvernement et d'ĂȘtre insaisissables face aux pouvoirs publics», lance HervĂ© Ouzzane, un des doyens du mouvement. AbritĂ© Ă l'ombre d'un arbre dans la cour du lycĂ©e, il dĂ©file depuis quelques jours devant les camĂ©ras du monde le gouvernement et les autres acteurs ? La mission semble rĂ©ussie. Il y a une volontĂ© chez certains d'entre eux de prĂ©senter l'Etat comme illĂ©gitime et de crĂ©er des abcĂšs de fixation. Ils sont dans la manipulation toutes leurs actions visent Ă dĂ©montrer qu'il y a une inaction des pouvoirs publics», glisse, agacĂ©e, une source gouvernementale. Nous prĂ©fĂ©rons traiter avec des associations qui existent, qui ont un statut juridique, des reprĂ©sentants et une expĂ©rience sur le terrain de longue date», explique plus poliment la mairie de Paris. Le directeur de France Terre d'asile, Pierre Henry, dont l'association est un des principaux acteurs auprĂšs des migrants, dĂ©nonce un mirage politique», considĂ©rant qu'un lieu global et commun n'est pas viable sur la distance il faut s'occuper individuellement des migrants, et non globalement». Le collectif balaye cet argument Une Ă©vacuation rĂ©ussie est une Ă©vacuation oĂč tout le monde a pu ĂȘtre relogĂ©. On ne peut pas mettre un toit sur la moitiĂ© des tĂȘtes et laisser l'autre dans la rue», assĂšne un de ses membres, qui refuse la stratĂ©gie du cas par cas, jugĂ©e intolĂ©rable et inefficace».Le collectif privilĂ©gie Ă©galement les opĂ©rations coup-de-poing. C'est mĂȘme sa marque de fabrique. Comme la tentative d'occupation, dĂ©but juin, de la caserne de ChĂąteau-Landon aprĂšs l'Ă©vacuation du camp du Bois Dormoy. Un Ă©pisode violent qui a fissurĂ© la scĂšne associative en deux. Avec, d'un cĂŽtĂ©, les membres du collectif qui, soutenus par des militants du NPA, se sont enfermĂ©s dans la caserne pour refuser les propositions d'hĂ©bergement et, de l'autre, les acteurs traditionnels, dont des Ă©lus communistes qui avaient acceptĂ© les 50 places de relogement et qui fustigent Ă prĂ©sent le modĂšle jusqu'au-boutiste» prĂŽnĂ© par des anars».InsultesLa tension fut telle, ce soir-lĂ , que des Ă©lus se sont plaints d'avoir Ă©tĂ© sĂ©questrĂ©s par des militants. Certains privilĂ©gient les convictions politiques au sort des migrants. Ils considĂšrent que dĂšs lors qu'on travaille Ă trouver des solutions avec la prĂ©fecture, la mairie ou le ministĂšre, on est forcĂ©ment collabos», lĂąche, consternĂ©, Pierre Henry. A ce stade, la cohabitation est devenue impossible sur le terrain. Dernier Ă©pisode en date lundi soir, une association de distribution alimentaire, la Chorba pour tous, a claquĂ© la porte du lycĂ©e aprĂšs avoir apportĂ© 300 repas. Ses bĂ©nĂ©voles ont refusĂ© d'enlever leurs gilets et de laisser les migrants s'occuper de la distribution. Le ton est montĂ©, les injures ont fusĂ©. Un membre du collectif affirme mĂȘme avoir Ă©tĂ© victime d'insultes toile de fond, deux conceptions diffĂ©rentes de l'humanitaire. On ne veut pas d'une dĂ©marche colonialiste, avec un rapport dominant-dominĂ©. Les migrants sont ici chez eux. Pas question que des bĂ©nĂ©voles en gilet viennent leur servir la popote comme Ă des Ćuvres de charitĂ©. Ce sont des sujets, pas des objets», explique Lyes, membre trĂšs actif du collectif. Impossible de changer nos rĂšgles, rĂ©torque Hachemi Bourahem, prĂ©sident fondateur de la Chorba pour tous. Ce n'est pas moi qu'ils punissent, ce sont les migrants. "La Chapelle" tire la couverture Ă eux, ils profitent des migrants pour faire connaĂźtre leurs revendications politiques. Je ne reconnais plus les valeurs de l'humanitaire chez ces gens.» L'association ne viendra plus distribuer de repas au lycĂ©e.Erreurs de jeunesse»MĂȘme au sein des partis de gauche, l'heure est aux sĂ©parations. Le NPA est toujours prĂ©sent, mais le Front de gauche et les Verts ont quittĂ© le mouvement, en dĂ©saccord stratĂ©gique depuis dĂ©but juin. Si on a une situation avec 300 migrants sur le carreau et qu'on n'a que 200 places, il faut qu'on les prenne tout de suite», soutient Hugo Touzet, Ă©lu municipal du Parti communiste. Il y a une volontĂ© chez quelques membres du collectif la Chapelle de trouver une lutte emblĂ©matique. Ils veulent une ZAD [zone Ă dĂ©fendre, ndlr] dans Paris. Certains cherchent Ă tendre la situation plutĂŽt que d'obtenir un atterrissage concret avec des solutions», renchĂ©rit GĂ©rald Briant, adjoint PC de la mairie du XVIIIe arrondissement. MĂȘme au sein du collectif la Chapelle, des membres reconnaissent des erreurs de jeunesse». On est un collectif trĂšs rĂ©cent, on a fait des bĂȘtises comme tout le monde, on apprend sur le terrain, mais on fait bouger les choses», explique HervĂ© Ouzzane. Cette lutte sans concession a ainsi permis d'obtenir des rĂ©sultats et d'attirer l'attention sur l'aspect inadaptĂ© des premiers logements proposĂ©s par la mairie trop Ă©loignĂ©s de Paris, trop prĂ©caires et mois aprĂšs sa naissance, le collectif commence aussi Ă s'interroger sur la suite Ă donner au mouvement. Quid des finances ? Et du statut juridique ? Nous sommes organisĂ©s en comitĂ© de lutte pour l'instant, reconnaĂźt Alain Pojolat, membre du NPA et du collectif. Il faudrait peut-ĂȘtre mieux se structurer, c'est une discussion qu'on doit avoir rapidement.» Conscients que l'identitĂ© anarchiste revendiquĂ©e par certains peut porter prĂ©judice au lieu, ils sont Ă©galement plusieurs Ă essayer de jouer la carte de l'apaisement. Oui, on a deux ou trois tocards parmi nous, mais on ne peut pas les exclure», avoue un jeune du collectif. Faute de pouvoir Ă©carter les quelques membres trop vindicatifs, ils se contentent de passer des coups de peinture sur les slogans un peu trop anars qu'ils inscrivent sur les murs du centre de ce champ de bataille entre associations et collectif, qui s'accusent mutuellement d'instrumentaliser des migrants fatiguĂ©s par des mois, voire des annĂ©es d'errance, les rĂ©fugiĂ©s essayent d'esquiver les coups. Bien loin des considĂ©rations politiques, beaucoup ont atterri au lycĂ©e Jean-QuarrĂ© pour se mettre Ă l'abri. Moi, je suis lĂ pour le toit», assure un migrant soudanais, assis sous le prĂ©au de l'Ă©tablissement. Et comme la plupart des habitants du squat qui, pour beaucoup, ne sont que de passage, il n'a aucune idĂ©e de la dimension politique du lieu.
ĂPaimpol, le collectif de soutien aux migrants du GoĂ«lo encourage les citoyens Ă participer au rassemblement prĂ©vu de 13 h 30 Ă 15 h 30, devant la prĂ©fecture de Saint-Brieuc. « Un covoiturage sera organisĂ© Ă Paimpol. Rendez-vous Ă 12 h 20, sur le parking de la gare, pour un dĂ©part Ă 12 h 30 », a soulignĂ© le collectif.
Dans le centre-ville de Nantes, ils Ă©taient 200 Ă s'ĂȘtre rassemblĂ©s, Ă 17 heures, en soutien aux personnes migrantes installĂ©es depuis plusieurs semaines sur le square Daviais et le rond-point adjacent. PrĂšs de 200 personnes ont manifestĂ© dans le centre ville de Nantes, ce samedi aprĂšs-midi Ă 17 heures, pour dĂ©noncer les conditions dans lesquelles vivent plusieurs centaines de personnes migrantes, installĂ©es sur le square Daviais et sur un rond point, non loin de la Petite-Hollande. Ă ce sujet, la rĂ©daction vous recommande Ils rĂ©pondaient Ă l'appel de diffĂ©rents collectifs d'aide aux migrants, dont l'Autre cantine, association qui distribue les repas des migrants. Ils sont partis du square Daviais et ont cheminĂ© jusqu'au Cours des Cinquante-Otages. Cette semaine, ces associations ont installĂ© quatre cabines de douches sur le square. Un point d'eau, quelques WC et les Bains-Douches, mis Ă disposition par la ville de Nantes, tiennent lieu d'installation sanitaire pour ces quelques 300 personnes sans abri. Ă ce sujet, la rĂ©daction vous recommande
fnro. 104 192 39 11 301 276 184 263 105
collectif de soutien aux migrants nantes