Lesstatistiques des services d’incendie et de secours DDDDÉTAIL DES INTERVENTIONS DES SAPEURS----POMPIERS Incendies : 305 460 (-0,4%) Risques technologiques : 52 747 (+1,3%) SUAP : 4 132 483 (+6%) Opérations diverses : 452 242 (+18,5%) Accidents de circulation Protection des biens Opérations diverses Secours à victime Aides à personne

Le ministère de l’Intérieur vient de confier à Dexia son premier financement par crédit-bail du réseau national de radiocommunication des sapeurs-pompiers Antares Adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours. Le montant du crédit-bail s’élève à 61,3 millions d’euros. Il sera échelonné sur 9 ans dont 3 ans de préfinancement durant la phase de déploiement du système. C’est le premier financement par crédit-bail réalisé par le ministère de l’Intérieur. Dans le cadre d’un marché public très détaillé», le choix du ministère s’est porté sur Dexia en raison de la qualité de son montage financier et de la souplesse de son organisation contractuelle. Dans un contexte de modernisation des infrastructures de communication, Antares est un outil numérique terrestre destiné à assurer la couverture nationale des services départementaux d’incendie et de secours SDIS. Il vise à définir un cadre d’interopérabilité totale entre SDIS, tout en assurant une communication optimale entre l’ensemble des réseaux publics de secours gendarmerie, police nationale et SDIS. Antares renforce ainsi la capacité d’intervention des sapeurs-pompiers accès distant aux bases de données, accès renforts extérieurs… et garantit une sécurité optimale lors des interventions appel individuel d’urgence, localisation des unités engagées…. Selon Gérard Bayol, administrateur-directeur général de Dexia Crédit Local Nous sommes particulièrement honoré par la confiance accordée par le Ministère de l’Intérieur. Ce montage financier illustre notre capacité à offrir à nos clients des solutions sur-mesure, grâce à une ingénierie financière adaptée au financement des actifs de l’Etat. Le déploiement d’Antares renforcera la capacité opérationnelle des SDIS, tout en assurant la sécurité des sapeurs-pompiers sur le terrain. Dexia, leader mondial du financement des collectivités locales, apporte là son soutien à un service public de première importance». Suivez Maire info sur Twitter Maireinfo2

LesPostes de Secours. Grâce à son réseau d’antennes très dense de partenaires associatifs privés et institutionnels nombreux, la Protection Civile est devenue une référence dans l’organisation de postes de secours. Elle déploie par an ses équipes bénévoles sur près de 25 000 manifestations et secourt plus de 100 000 personnes
Diplôme valable à vie conseil de formation continue tous les 2-3 ans, Reconnu par le Ministère de l’Intérieur. Objectif "Faire acquérir à toute personne les compétences nécessaires à l'exécution d'une action citoyenne d'assistance à personne en réalisant les gestes de premiers secours" Pré-requis Être de plus de 10 ans. Modalités d'évaluation Participer à toutes les phases de la formation, Réaliser ou faire réaliser tous les gestes de premiers secours, Participer une fois au moins, comme à une activité d'application évaluative. Contenu de formation Modules Protection, Alerte, Alerte et protection des populations, Obstruction des voies aériennes, Hémorragies, Perte de connaissance, Arrêt cardiaque, Malaise, Brûlures, Plaies, Traumatisme. Objectifs pédagogiques Nos valeurs LE SECOURISME POUR LE PLUS GRAND NOMBRE, UNE PEDAGOGIE AXEE SUR LE RESPECT, LA BIENVEILLANCE ET LA NON-DISCRIMINATIONSecourisme pour tous et toutes Personnes en situation de handicap, Protection de l'enfance, Prévention de la délinquance, Personnes âgées... -> Le secourisme un lien social plus inclusif Notre équipe Des formateurs et formatrices dynamiques et Des pédagogies innovantes, Transmission des gestes de secours mais aussi partage des valeurs citoyennes -> Connaissances et vivre-ensemble Méthodes pédagogiques Innovation pédagogique Alternance théorie-pratique, Approches ludiques et interactives, Adaptation du contenu au public exemples imagés, phases pratiques…Matériel Mannequins et DAE de formation, Maquillage, Matériel de cas concrets, Vidéoprojecteur et ordinateur Informations diverses Durée et stagiaires 8 heures de formation en présentiel, 4 à 10 stagiairesTarifs Accessible au CPF/OPCO sur demande Groupe 6-10 pers 60 €/pers, Individuel 65 €/pers, Possibilité de paiement en Pass’Région ou chèques vacances. Objectif Mettre à jour ses compétences de premiers secours en fonction de l'évolution des recommandations ministérielles et des risques particuliers Pré-requis Détenir un diplôme initial PSC1 ou une attestation de formation continue PSC1 datant de moins de 3 ans Modalités d’évaluation Participer à toutes les phases de la formation, Réaliser ou faire réaliser tous les gestes de premiers secours, Participer une fois au moins, comme à une activité d'application évaluative Contenu de formation Modules Modules de formation adaptés aux risques professionnels et/ou pratiques personnelles sport, activités, vie de famille…, Adaptation à la demande en amont et/ou en fonction des attentes des stagiaires le jour de la formation, Formation basée sur des mises en situation "cas concrets" pour que les stagiaires se basent sur leurs acquis/savoirs/intuitions à partir desquels l'équipe pédagogique complète avec des apports théoriques et pratiques Objectifs pédagogiques Nos valeurs LE SECOURISME POUR LE PLUS GRAND NOMBRE, UNE PÉDAGOGIE AXÉE SUR LE RESPECT, LA BIENVEILLANCE ET LA NON-DISCRIMINATIONSecourisme pour tous et toutes Personnes en situation de handicap, Protection de l'enfance, Prévention de la délinquance, Personnes âgées... -> Le secourisme un lien social plus inclusif Notre équipe Des formateurs et formatrices dynamiques et Des pédagogies innovantes, Transmission des gestes de secours mais aussi partage des valeurs citoyennes -> Connaissances et vivre-ensemble Méthodes pédagogiques Innovation pédagogique Alternance théorie-pratique, Approches ludiques et interactives, Adaptation du contenu au public exemples imagés, phases pratiques…Matériel Mannequins et DAE de formation, Maquillage, Matériel de cas concrets, Vidéoprojecteur et ordinateur Informations diverses Durée et stagiaires 4 heures de formation en présentiel, 4 à 10 stagiairesTarifs Accessible au CPF/OPCO sur demandeIndividuel 35 €/pers, Possibilité de paiement en Pass’Région ou chèques vacances
Conformémentà la loi de modernisation de la Sécurité Civile de 2004, le SDIS06, comme la plupart des SDIS, migre progressivement son réseau radio vers le réseau numérique ANTARES Adaptation Nationale des Transmissions aux Risques et aux Secours. Ce dossier débuté fin 2007, dont la Direction de projet a été assurée par le lieutenant
Portatif radio ANTARES Antares est un réseau de télécommunications numérique des services publics français qui concourt aux missions de sécurité civile française. Antarès est l'acronyme d' Adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours ». Définition INPT L'infrastructure nationale partageable des transmissions INPT est un réseau radio numérique chiffré national dans la bande 380-400 MHz sur une technologie TETRAPOL EADS destiné à l'interopérabilité des sapeurs-pompiers, des unités de la sécurité civile, du déminage, des moyens aériens, des unités militaires, du SAMU, de la police Acropol et de la gendarmerie RUBIS, pour les opérations de sécurité civile. Le réseau RUBIS de la Gendarmerie nationale essentiellement les unités de Gendarmerie départementale s'appuie également sur la technologie TETRAPOL mais sur une infrastructure physique distincte et sur une bande de fréquences différente 70 MHz. Cependant la technologie employée étant identique, une interopérabilité native ou via des moyens connexes est possible. Ce réseau remplace les anciens réseaux analogiques. La première plate-forme expérimentale a été ouverte dans le département de l'Ain à l'été 2004 la police, les sapeurs-pompiers et le SAMU exploitent au quotidien ce système commun. Le 18 octobre 2005, un exercice opérationnel interservice a permis de qualifier la performance de l'interopérabilité des services telle que fixée par la loi de modernisation de la sécurité civile en 2004. Tous ces services disposent désormais d'un outil de télécommunications opérationnelles intégré permettant la coordination préfectorale et la remontée d'information à tous les niveaux hiérarchiques, du terrain jusqu'au niveau du gouvernement. Le réseau de télécommunications INPT » constitue avec les réseaux Acropol » Police et Corail NG » gendarmerie mobile, et Antares » sapeurs pompiers. l'infrastructure nationale partageable des transmissions INPT organisée autour d'environ mille cinq cents sites-relais qui couvriront environ 95 % du territoire métropolitain français. Le réseau Acropol constitué initialement d'environ mille cent sites relais 85 % du territoire est en passe d'être achevé début 2007. Le réseau CORAIL NG s'articule autour d'un commutateur de gestion propre à la gendarmerie et d'extensions de voies radio réalisées sur certains relais. Le réseau Antarès est étendu par la direction de la Sécurité Civile française +300 relais de 2007 à 2009. Les unités nationales de la sécurité civile unités d'instruction et d'intervention UIISC, le déminage, les hélicoptères, les avions… sont équipés durant cette période sauf la flotte d'avions bombardiers d'eau ABE dont les équipements radio numériques n'ont pas encore satisfait aux exigences de la DGAC ; les services d'incendie et de secours cent mille terminaux migrent progressivement sur ce réseau à partir de 2005. Simulation Pour pouvoir communiquer comme en opérationnel avec les mêmes capacités et les mêmes contraintes, des outils[Quoi ?] existent pour pouvoir simuler l'infrastructure réseau ANTARES d'une organisation et imiter l'utilisation des terminaux radios associés. Il devient alors possible de réaliser des formations et des exercices d'entraînement de cadres, sans occuper le réseau ANTARES opérationnel. La société Crise fournit un simulateur d'infrastructure INPT. Voir aussi Article connexe Acropol Lien externe Dossier officiel du Ministère de l'Intérieur au sujet du réseau ANTARES Lien HS, erreur 404 Dernière mise à jour du contenu le 11/03/2022. Évolutiondu partage des rôles dans l'organisation des secours entre SIS, SAMU, police nationale, gendarmerie Restructuration des services hospitaliers et des pôles de soins Évolution du risque juridique, de la jurisprudence sur la qualification judiciaire de la responsabilité Évolution du cadre des interventions payantes (ouverture de porte, fuite
Durant les discours de la Sainte-Barbe. photo j. B. © Crédit photo Beney Jacky Par Jacky BeneyPublié le 06/12/2010 à 0h00 Les sapeurs-pompiers d'Issigeac ont fêté leur patronne, sainte Barbe, samedi 27 novembre, sous la direction de l'adjudant-chef Jean-Louis Boino. Dans son discours, ce dernier a dressé l'inventaire des 182 sorties de l'année 132 secours aux personnes, 37 incendies et 13 sorties diverses en augmentation par rapport à 2009 164. Cette hausse est due à l'ajout de quatre communes du Lot-et-Garonne Castillonnès, Cahuzac, Ferrensac et Cabarc au champ d'intervention du centre de secours. Tous volontaires L'adjudant-chef a aussi salué le Conseil général et la commune pour la rénovation de la caserne d'un coût de 80 000 euros et a émis le vœu d'avoir un véhicule plus commandant Jean-Marc Filippi, chef du groupement Sud-Ouest, secteur de Bergerac, a quant à lui félicité les pompiers issigeacois, tous volontaires, pour leur engagement total et annonça de nouvelles mesures pour encourager cette vocation. Des moyens techniques comme Antarès Adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours devraient apporter une plus grande rapidité au Service départemental d'incendie et de secours. Le conseiller général et maire Jean-Claude Castagner à son tour félicita les pompiers pour leur disponibilité. Il aimerait que leurs interventions soient relatées dans la Petite Gazette », mensuel du canton. Des diplômes ont été remis à quatre pompiers Gilles Lestrade, Olivier Cappela, Thomas Mayade et Jennifer Dat. Enfin, un vin d'honneur a été offert à la nombreuse assistance en présence des élus.

Loin° 2004-811 du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile Menu

L’évaluation des risques sanitaires et professionnels Face à la circulation active du virus, la continuité de l’activité implique une mise à jour dans l’évaluation des risques pour protéger les salariés du Covid-19 ainsi que des risques professionnels liés à chaque activité. La protection de la santé et la sécurité des salariés demeure une responsabilité de l’employeur en toutes circonstances. L’épidémie ne doit pas, par ailleurs, faire oublier les risques professionnels courants et fréquents à l’origine de nombreux accidents du travail ou maladies professionnelles. L’intensification des rythmes de travail voire leur retour à la normale peut créer de nouvelles situations à risques, ou les amplifier. La première étape de la démarche à entreprendre par l’employeur est l’évaluation des risques. A ce titre, l’employeur doit tenir compte de toutes les situations et interactions qui peuvent mener à une contamination au Covid-19. Cette évaluation le conduira à mettre en place un plan d’action de prévention au niveau de l’organisation du travail, de la distanciation physique et des gestes barrières, de l’hygiène. Ces mesures de prévention impliquent également un échange et une coordination avec toutes les parties prenantes externes de l’entreprise fournisseurs, prestataires, donneurs d’ordre… Pour mener cette évaluation et établir un plan d’action, l’Assurance Maladie - Risques professionnels et son institut de prévention, l’INRS proposent un outil en ligne Plan d’action Covid-19 ». Il permet au chef d’entreprise, à travers un parcours de 40 questions, d’identifier des actions concrètes et adaptées à sa situation. L’évaluation et le plan d’action liés au Covid-19 seront ajoutés au document unique d’évaluation des risques DUER et portés à la connaissance des salariés et des instances représentatives du personnel. Des conseils et solutions par secteur d'activité Pouraccéder aux cours en accès restreint, vous devez être inscrit : renseignez votre LOGIN et votre MOT DE PASSE ici pour vous inscrire : cliquez ici – M.A.M : RÉFÉRENTIEL DU MODULE D’AIDE A LA MEDICALISATION DES SECOURISTES. 2020 La noyade Dr D. CASTAGNET; 2020 OAP d’immersion Dr D. CASTAGNET; 2021 Les gelures Dr G. SECHAUD

Le volcanisme est un risque majeur contre lequel l'homme ne peut que se protéger de manière passive. On ne peut empêcher une éruption d'avoir lieu. Mais on peut tenter de la prévenir et prendre des dispositions pour minimiser ses conséquences sur le plan humain, la protection des biens n'étant pas envisageable à l'heure contrairement à d'autres risques naturels, la réduction du nombre des victimes est parfaitement possible, tandis que la protection des biens n'est à l'heure actuelle qu' clés de cette protection passive sont une solide connaissance de l'histoire du volcan, une surveillance capable de détecter tout signe annonciateur d'une éruption, une information préventive de la population, un système d'alerte et enfin des moyens de protection évacuation principalement prêts à être mis en œuvre. A - La prévention La prévention avant éruption contre le risque volcanique s'articule autour de deux pôles la prévision, à travers l'étude du volcan, et la préparation des populations et des services de du volcanLa prévision des éruptions est la première étape de la prévention. L'étude des événements antérieurs permet de comprendre le fonctionnement du volcan et de tenter de prévoir les éruptions futures. En d'autres termes, le passé est la clé du étude des anciennes éruptions a un double but déterminer le type d'éruption prévisible et délimiter les zones atteintes par le passé. Ce travail doit aboutir à la réalisation de cartes des zones menacées, et ainsi préparer l'évacuation des de l'activité actuelle du volcan est également primordiale, puisqu'elle doit permettre de prévenir l'imminence d'une éruption. La surveillance volcanique se fait à partir d'observatoires ou de stations d'alerte qui préviennent de l'évolution d'un volcan en étudiant les variations de différents paramètres liés à l'activité volcanique. On distingue quatre familles de paramètres l'activité sismique, les paramètres géophysiques, la déformation du volcan et les changements dans la composition des gaz éruption volcanique est toujours précédée d'une activité sismique qui traduit la montée d'un magma mise en place autour d'un volcan d'un réseau de stations sismiques est le moyen de détection des éruptions le plus efficace. La modification d'autres paramètres géophysiques magnétique, gravimétrique, électrique, etc. permet également de caractériser une évolution dans l'activité magma arrive sous un volcan, il doit se faire de la place, ce qui se traduit par une déformation en surface, généralement un gonflement. Cette déformation peut être mesurée par des appareils installés sur place extensomètre par exemple ou par des images l'arrivée d'un magma juvénile peut être mise en évidence par des changements dans la température et la composition géochimique des gaz qui accompagnent le de déterminer à partir de quel niveau un changement dans l'un de ces paramètres est révélateur de l'imminence d'une éruption, il convient de connaître les variations indépendantes de toute activité volcanique, mais liées à des cycles naturels tels que la température ou les précipitations. Il est nécessaire de différencier la variation significative du bruit de fond ».Ces observations et mesures doivent également être faites au cours d'une éruption afin d'en prévenir l'évolution à court France, ce travail est confié à l'Institut de physique du globe de Paris, qui surveille ainsi les trois volcans actifs de notre territoire. Les moyens humains et financiers étant suffisants dans notre pays par rapport au nombre de volcans à surveiller, trois observatoires permanents ont été installés à proximité de la montagne Pelée en 1903, de la Soufrière de Guadeloupe en 1950 et du piton de la Fournaise en 1979. Une soixantaine de personnes sont impliquées, à temps plein ou partiel, dans le fonctionnement de ces Pacific Tsunami Warning Center, basé à Hawaii, surveille l'activité sismique autour de l'océan Pacifique. En cas de séisme, ce centre émet un bulletin de surveillance des tsunamis qui informe toutes les régions susceptibles d'être touchées autour du Pacifique. S'il constate la formation d'un tsunami, le centre émet un bulletin d'alerte afin que les autorités civiles des régions menacées puissent prendre les mesures préventiveLa loi du 22 juillet 1987 a instauré le droit des citoyens à une information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis sur tout ou partie du territoire, ainsi que sur les mesures de sauvegarde qui les concernent article du Code de l'environnement.Sous l'autorité du préfet, deux documents d'information des populations sont réalisés, généralement par les services interministériels de défense et de protection civiles SIDPC. Les dossiers départementaux des risques majeurs DDRM recensent à l'échelle d'un département l'ensemble des risques par commune. Ils expliquent les phénomènes et présentent les mesures de sauvegarde. Les dossiers communaux synthétiques DCS situent les risques dans chaque commune, au moyen de cartes au 125 000 et rappellent les évènements historiques, ainsi que les mesures de dossiers d'information communaux sur les risques majeurs DICRIM sont établis par le maire. Ils complètent les informations contenues dans les précédents documents par les mesures spécifiques prises en vertu des pouvoirs de police du maire. Ils doivent être accompagnés d'un plan de communication comprenant une campagne d'affichage et une campagne d'information. Disponibles en mairie, ces documents ne sont pas opposables aux pour agrandirLe plan de communication établi par le maire peut comprendre divers supports de communication, ainsi que des plaquettes et des affiches, conformes aux modèles arrêtés par les ministères chargés de l'environnement et de la sécurité maire peut imposer ces affiches - dans les locaux accueillant plus de 50 personnes,- dans les immeubles regroupant plus de 15 logements,- dans les terrains de camping ou de stationnement de caravanes regroupant plus de 50 propriétaires de terrains ou d'immeubles doivent assurer cet affichage sous contrôle du maire à l'entrée des locaux ou à raison d'une affiche par 5 000 m2 de - L'alerte et les consignesLe signal national d'alerte consiste en trois émissions successives d'une minute chacune et séparées par des intervalles de cinq secondes, d'un son modulé en amplitude ou en fréquence. Des essais ont lieu le premier mercredi de chaque mois à signal est diffusé par tous les moyens disponibles et notamment par le réseau national d'alerte et les équipements des collectivités territoriales. Il est relayé par les dispositifs d'alarme et d'avertissement dont sont dotés les établissements recevant du public et par les dispositifs d'alarme et de détection dont sont dotés les immeubles de grande messages d'alerte contiennent des informations relatives à l'étendue du phénomène tout ou partie du territoire national et indiquent la conduite à tenir. Ils sont diffusés par les radios et les télévisions sociétés nationales de programme Radio France et France Télévisions, société nationale de radio-diffusion et de télévision pour l'outre-mer, services autorisés de télévision par voie hertzienne terrestre desservant une zone dont la population est supérieure à six millions d'habitants, société d¹exploitation de la quatrième.Le signal de fin d'alerte consiste en une émission continue d'une durée de trente secondes d'un son à fréquence fin de l'alerte est annoncée sous la forme de messages diffusés par les services de radiodiffusion sonore et de télévision, dans les mêmes conditions que pour la diffusion des messages d'alerte. Si le signal national d'alerte n'a été suivi d'aucun message, la fin de l'alerte est signifiée à l'aide du même support que celui ayant servi à émettre ce consignes un certain nombre de consignes générales à suivre avant, pendant et après » une alerte ont été définies. Elles sont complétées par des consignes spécifiques à chaque risque. C - Consignes générales AVANTPrévoir les équipements minimums • radio portable avec piles ;• lampe de poche ;• eau potable ;• papiers personnels ;• médicaments urgents ;• couvertures ; vêtements de rechange ;• matériel de en mairie • des risques encourus ;• des consignes de sauvegarde ;• du signal d'alerte ;• des plans d'intervention PPI.Organiser • le groupe dont on est responsable ;• discuter en famille des mesures à prendre si une catastrophe survient protection, évacuation, points de ralliement.Simulations • y participer ou les suivre ;• en tirer les conséquences et ou se confiner en fonction de la nature du écouter la radio les premières consignes seront données par France Inter et les stations locales de le groupe dont on est pas aller chercher les enfants à l' écouter et suivre les consignes données par la radio et les les autorités de tout danger une première aide aux voisins ; penser aux personnes âgées et mettre à la disposition des • les dégâts ;• les points dangereux et s'en éloigner.* Ne pas téléphonerLes secours Quand une activité volcanique anormale est enregistrée, les autorités sont mises en alerte, ainsi que le Conseil supérieur d'évaluation des risques volcaniques CSERV.Des plans d'organisation des secours plans Orsec sont alors mis en place, conformément à l'article 2 de la loi 87-565 du 22 juillet 1987. Ils recensent les moyens publics et privés susceptibles d'être mis en œuvre en cas de catastrophe et définissent les conditions de leur emploi par l'autorité compétente pour diriger les seule mesure de protection pour le volcanisme étant l'évacuation, des plans de secours spécialisés PSS sont élaborés dans cette optique, et comportent trois niveaux d'alerte • vigilance-préalerte mobilisation des services de l'État, information préventive ;• alerte constitution d'un PC de crise, préparation de l'évacuation ;• évacuation transfert de la population vers les centres d' plans de secours prévoient l'organisation des transports, de la circulation, de l'accueil et de la protection des réfugiés, ainsi que de la surveillance contre le cas de déclenchement d'un plan Orsec, les opérations de secours sont placées, dans chaque département, sous l'autorité du représentant de l'État dans le département. Lorsqu'elles intéressent le territoire de plusieurs départements, qu'il y ait ou non déclenchement d'un plan Orsec, le Premier ministre peut placer l'ensemble des opérations de secours sous la direction du représentant de l'État dans l'un de ces La loi n° 82-600 du 13 juillet 1982 modifiée, relative à l'indemnisation des victimes de catastrophes naturelles art. à du Code des assurances a fixé pour objectif d'indemniser les victimes de catastrophes naturelles en se fondant sur le principe de solidarité que le sinistre soit couvert au titre de la garantie catastrophes naturelles », il faut que l'agent naturel en soit la cause plus, et c'est très important, les victimes doivent avoir souscrit un contrat d'assurance garantissant les dommages d'incendie ou les dommages aux biens ainsi que, le cas échéant, les dommages aux corps de véhicules terrestres à moteur. Cette garantie est étendue aux pertes d'exploitation, si elles sont couvertes par le contrat de l' de catastrophe naturelle, ouvrant droit à la garantie est constaté par un arrêté interministériel des ministères de l'Intérieur et de l'Économie et des Finances qui détermine les zones et les périodes où s'est située la catastrophe ainsi que la nature des dommages résultant de celle-ci et couverts par la garantie article L. 125-1 du Code des assurances.Les territoires d'outre-mer, dont la Polynésie française, demeurent hors du champ d'application de la loi de 1982.

jUTE. 87 3 134 349 193 138 275 292 56

adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours